Près de la terrasse, le mur, un peu triste, se recouvre petit à petit du feuillage des Pyrus salicifolia.
Piet Oudolf a joué à fond la carte des gris en bordant le massif de graminées grises aussi (Helictotrichon sempervirens ?), flanquées à leur extrémité de romarins rampants. Quelques fleurs (entre autres, des Asphodèles ?) apportent un peu de couleur en mai.